Caroline étant vraiment demandeuse et gourmande, elle a beaucoup de savoir-faire car elle a beaucoup pratiqué, donc la belle est imaginative et surprenante par ses positions demandées, et maintenant elle pratique la sodomie avec bonheur et plaisir… Nous nous aimons, nous plaisantons beaucoup, je suis heureux, très heureux.
Nous décidons d’avoir un projet commun avec l’achat d’une très grande résidence secondaire à Coudeville sur mer, six chambres pour pouvoir accueillir, nos enfants, notre famille mais aussi nos amis. Cette maison est splendide avec une vue mer de pratiquement toutes les pièces équipées de larges baies vitrées, elle dispose de grands balcons donnant directement sur une longue digue-promenade, et nous avons un accès direct à la plage.
Petite parenthèse, si nous avons des lecteurs qui pensent nous reconnaître, car nous avons décidé Caroline et moi de ne pas changer nos prénoms, ni nos lieux de résidence, un petit commentaire serait le bienvenu…Nous sommes heureux dans cette maison, Caroline, fait des merveilles au niveau de la décoration, elle est surtout heureuse de pouvoir se balader nue chez nous, face à la mer, simplement visible des passants de la digue-promenade.
Elle aime prendre un café, voire travailler sur son ordinateur sur un des balcons de la maison, entièrement nue…Cela l’excite beaucoup.
Au fil du temps, elle a de plus en plus d’admirateurs qui la saluent, ils doivent deviner qu’elle est très légèrement vêtue, voire pas du tout…C’est une véritable passion pour elle, l’exhibition. C’est à Rouen, qu’elle a pour la première fois en ma compagnie, l’occasion de mettre en pratique sa véritable passion.
C’est dans la rue, non loin de la cathédrale. Un photographe, plutôt bel homme, s’adresse aux passants, notamment beaucoup de touristes, en leur proposant de les photographier sans engagement et d’acheter ensuite la photo.
Il s’adresse à Caroline, au même titre qu’aux autres passantes.
Elle a d’ailleurs remarqué qu’il s’adresse plutôt aux femmes et a un certain succès.
Elle a accepté à la condition qu’elle puisse exhiber une partie intime de son corps et qu’il lui offre la photo.
Sa proposition lui a plu et l’affaire fut vite conclue sans autres manières.
Ce jour-là il fait chaud. Elle porte un chemisier échancré, sans soutien-gorge comme c’est son habitude ainsi qu’une jupe large assez courte.
Dès qu’il fut prêt, elle ouvre largement son chemisier et expose bien en avant ses deux seins. Cela ne dure que quelques secondes mais le futé a réussi à prendre plusieurs photos.
Puis, elle soulève sa jupe et elle montre son sexe à peine caché par un minuscule string blanc.
Je ne sais pas quelle a été l’attitude des passants, tellement je suis tout à mon plaisir de l’observer.
J’ai bien ri lorsqu’elle me montre son premier exploit en photo. Nous avons gardé précieusement l’adresse du photographe.
Mais toutes les occasions sont bonnes. Ainsi, elle adore être au volant de sa voiture. C’est son lieu de prédilection pour s’exposer. Nous le faisons régulièrement ensemble, mais cela lui arrive de le faire également seule en m’envoyant un message…Toujours vêtue en jupe ou robe suffisamment ample, elle écarte bien les jambes et elle se caresse.
L’idée que l’on puisse l’observer ainsi l’excite au plus haut point.
Elle essai de longer un autobus ou bien un camion, afin que de haut elle puisse être bien observée.
Bien entendu les feux rouges et les embouteillages sont des moments de prédilection.
Aussitôt arrivée chez nous, si je suis absent, il faut alors qu’elle se libère au plus vite de cette folle montée de désir.
Elle va dans notre salle de bain et s’introduit un doigt en elle, bien profondément, comme elle est déjà toute mouillée ce n’est généralement pas suffisant et elle doit enfoncer plusieurs doigts sans pouvoir s’arrêter avec le besoin de continuer plus vite et plus fort jusqu’à l’explosion.
Dans la journée, lorsqu’elle a besoin de se soulager, elle entre dans une boutique de lingerie et elle se branle dans la cabine d’essayage. Elle s’arrange toujours pour laisser le rideau entr’ouvert afin que la vendeuse ou bien qu’une cliente puisse l’apercevoir en pleine action. Cela m’arrive de l’accompagner et cela m’excite de voir les réactions des autres personnes.
Très souvent, à sa grande déception, elles font semblant de ne rien voir.
Mais il lui arrive également de réussir à attirer l’attention, un sourire, un clin d’œil, un geste de connivence, la ravissent.
Elle a tout de même à son palmarès quelques bons résultats. Ainsi dans une boutique où elle se rend souvent, une très jeune vendeuse a compris son manège et prend plaisir à la rejoindre pour l’aider, lui dit-elle, les bras remplis de soutien-gorge et de strings de toutes marques.
Elle l’aide effectivement à sa façon et elle passe de brefs mais intenses moments à la caresser. Malheureusement elle ne travaille plus dans cette boutique car elle n’était que stagiaire. Une autre fois c’est un homme qui l’a aperçue. J’étais présent, Il faisait un achat pour offrir à sa femme. Il s’est introduit dans la cabine alors que le magasin était désert et lui a demandé de la caresser. Caroline, un peu paniquée, m’a appelé, pour me demander mon avis sur sa tenue…Elle était nue.
L’homme est sorti en s’excusant, je l’ai rassuré en lui affirmant que c’était avec un grand plaisir que j’exhibais Caroline. Nous sommes sortis séparément mais je crois que la vendeuse avait deviné notre manège, à voir son sourire malicieux.
Toutes les occasions, en tous lieux, à tout moment, sont pour elle prétexte à s’exhiber.
Il y a bien sûr les classiques expositions, nue devant nos fenêtres, et à Coudeville nous disposons de larges baies donnant sur la digue-promenade, ou encore les jambes écartées à la terrasse d’un café mais ce qui la passionne ce sont les moments uniques tels que ceux que je vous ai racontés.
Sauf à l’hôpital, à son bureau, habillée très sagement, elle passe pour une grande vertueuse inabordable.
Le temps où elle faisait « son marché » pour trouver ses multiples amants est révolu, maintenant à la direction, elle doit être exemplaire. Et c’est mieux ainsi.

Et puis sans le savoir à l’achat de notre résidence secondaire, nous avons une plage naturiste à environ 1200 mètres de la maison par la plage, c’est la plage de Bréville sur mer, c’est une plage où le naturisme est « toléré », mais largement pratiqué sur cette plage immense.
Par ailleurs il y a pas mal d'hommes dans les dunes, beaucoup de gays mais également beaucoup de voyeurs.
Caroline est exhibitionniste, mais également naturiste, en ce qui me concerne j’apprécie cette pratique quand il faut chaud, j’apprécie être nu par forte chaleur seulement. Le problème rencontré par les naturistes et spécialement les femmes c’est l'assimilation directe à la sexualité : être nue et à plusieurs ne signifie pas avoir des relations sexuelles.
Même si Caroline aime bien provoquer et jouer, il n'y a rien de pervers ou de libertin là-dedans.
La nudité fait peur alors que le sexe, on en parle dans les médias. En revanche, la nudité a toujours cette image très sérieuse, alors que c'est justement naturel.
Elle revendique juste le droit d'exister tel quel, dans le plus simple appareil. Pour elle, c'est un mode de vie à part entière. Elle aime être dans le plus simple appareil. Elle pratique d’ailleurs deux activités naturistes le yoga et l’aquagym.
C’est aussi à cette période, que je commence à avoir des envies particulières, j’aimerais partager Caroline, nous invitons virtuellement des amants lors de nos ébats, j’aimerais rencontrer Jean-Jacques, alias « Gigibé », son ex amant depuis ses vingt-cinq ans, mais Caroline refuse catégoriquement, m’exprimant son souhait que je sois son dernier homme.
Alors comme elle aime l’exhibition, elle m’autorise de lui organiser des défis d’exhibe précis, avec comme condition, si le défi n’ai pas réalisé correctement, de lui infliger la « punition suprême », c’est une sodomie violente et bestiale qui peut être réalisée en tous lieux et à ma convenance.
Un de nos premiers défis, fut plutôt simple à réaliser. Nous devons nous rendre à la plage naturiste de Bréville, en partant de la maison, c’est un week-end ou il fait beau et chaud, je demande à Caroline d’être vêtue d’un mini-string, ficelle et tout petit triangle et d’une robe très transpa ...

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