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Ma petite cousine

Publié par : bg17 le 04/01/2020

J'ai toujours eu un faible pour ma cousine, Sylvie, depuis notre plus jeune âge. Elle est âgée de trois ans de plus que moi. Elle était pourtant loin d'être un top model, avec un petit look de garçon manqué. Brune, assez petite, une poitrine on ne peut plus banale, les cheveux assez courts.
A 19 ans, j'avais eu quelques petites amies. Malheureusement, aucune relation sérieuse. Cela s'était limité à quelques embrassades appuyées, j'étais toujours vierge. À 19 ans, j'en avais assez honte, étant fort porté sur le sexe et étant adepte de sites pornographiques.

Nous avions décidé de partir en Corse pour les vacances de Pâques. Nous étions un petit groupe de cinq personnes : Sylvie, moi-même, mon autre cousine Elza, et un couple d'amis communs, Annick et Laurent. Nous étions descendus du nord de la France vers Marseille avec la voiture de Laurent. Le soir tombé, nous avons embarqué dans le ferry de la SNCM pour une traversée de nuit. Arrivés au petit matin à Ajaccio, nous avons continué notre route vers Porto Vecchio, où nous avions réservé un bungalow dans un camping.
Nous n'étions pas un groupe de fêtards. Nous comptions profiter de la nature, promener, passer de bons moments ensemble, profiter du soleil et de la plage. Un vrai séjour de détente. De mon côté, j'étais heureux de pouvoir profiter de Sylvie pendant quelques jours. Sur le chemin, je me suis remémoré l'expérience que nous avions vécue tous les deux, alors que nous étions cinq années plus jeunes Nos parents avaient loué un grand gîte ensemble dans le sud de la France. Il était séparé en deux parties, la première avait été dédiée aux enfants, l'autre aux parents. Ainsi, avec mes cousins, nous pouvions chahuter dans la grande chambre sans gêner les plus vieux qui voulaient se reposer.
Un soir, alors que je prenais ma douche, je fus surpris par une silhouette au-delà de la paroi de verre couverte de buée. Je sortis de la cabine de douche, Sylvie était devant moi, en train de déshabiller.

— Eh bien mon cousin, c'est la première fois que je te vois tout nu !

J'étais embarrassé, nu comme un ver, mouillé. Le sang commençait à se concentrer dans mon membre qui avait tendance à vite se dresser à cet âge-là. Ma cousine dégrafa son soutien-gorge, laissant apparaître sa poitrine, une première pour moi. Ensuite, elle retira son shorty, laissant apparaître une toison noire. Je restais sans voix. Ma cousine, nue devant moi... Mon sexe était au garde à vous, Sylvie s'en amusa :

— Tu es en forme dis-moi ! Ecarte-toi, je meurs d'envie de cette douche, tu as pris trop de temps.

Je m'écartai, elle passa devant moi et fit une caresse sur mon sexe. Une caresse furtive mais tellement agréable. Je m'essuyai tout en observant Sylvie sous sa douche, l'eau parcourant son corps, ruisselant sur ses hanches. La vue de sa poitrine et de son pubis me rendait fou, c'était la première fois que je pouvais contempler une femme de la sorte. Une fois habillé, je sortis de la salle de bain et dus attendre un bon moment pour faire redescendre la pression. Plus jamais nous n'avons parlé de ce moment intime.


Arrivés à Porto Vecchio, nous prenons possession du bungalow. Celui-ci est constitué de trois chambres : la première avec un lit superposé pouvant accueillir deux personnes, une seconde avec un lit double, et une troisième avec un lit simple.
Elza demande si elle pouvait prendre la troisième chambre. Elle doit dormir avec une pompe l'aidant à respirer la nuit afin d'éviter une apnée du sommeil. Cette pompe fait un peu de bruit et elle ne veut déranger personne. Tout le monde acquiesce et c'est naturellement qu'Annick et Laurent investissent la chambre avec le lit double, et pour mon plus grand bonheur, Sylvie et moi prenons possession de la première chambre. Sylvie réagit :

— Je te préviens, je dors en bas ! J'espère que tu ne ronfles pas !
— Ca tombe bien, je préfère dormir en haut. Et non, je ne ronfle pas.

Chacun installe ses affaires. Le reste la journée sera assez calme. Nous allons nous coucher de bonne heure, le voyage nous ayant fatigués. Sylvie porte un ensemble pyjama pour dormir : un short et un T-shirt assortis.
Je me réveille, la lumière du jour emplit la chambre. Je baisse ma tête pour voir si ma cousine dort toujours. Mon regard croise le sien, son visage est affiche un beau sourire.

— Salut cousin, bien dormi ?
— Très bien, et toi ?
— Comme un bébé. Je suis contente que l'on partage cette chambre toi et moi !
— Moi aussi !

Pourquoi a-t-elle dit cela ? Se souvient-elle de notre petit moment dans la salle de bain ? Est-elle aussi attirée par moi ?
Nous discutons de choses et d'autres pendant un petit moment, décide ensuite de se lever. Elle fait pivoter son bassin avec ses jambes tendues et dressées vers moi. De mon point de vue, je ne perds pas une miette du spectacle : Sylvie ne porte pas de sous-vêtement sous son short qui est assez ample, laissant paraître son pubis de par sa position. Cela ne dure qu'un instant, et Sylvie referme vite ses jambes, se lève, sa tête arrivant à la hauteur de la mienne.

— Dis-moi Adrien, tu as une copine en ce moment ?
— Non, c'est le néant en ce moment ? Et toi, tes conquêtes ?
— Oh, tu sais, je n'attire pas les garçons. Je ne fais rien pour non plus : je ne m'habille pas sexy, je ne porte pas de talons. Pourtant j'aimerais bien...

J'ai connu un ou l'autre garçon, mais je les ai envoyés promener. Tout ce qui les intéressait était le sexe.
— Je comprends. Mais rassure-toi chère cousine, tu es belle à craquer. Si je n'étais pas ton cousin, je t'aurais déjà fait la cour !

Nous rigolons tous les deux. J'étais pourtant sérieux. Mon désir pour Sylvie est de plus en plus fort.
L'après-midi, alors que nous jouons dans la mer un peu fraîche à cette saison, Sylvie me semble étrangement proche : en essayant de me couler, elle effleure mon entrejambe à plusieurs reprises. Je ne suis pas en reste. Ce jeu me permet de toucher sa peau autant que possible, tout en restant discret.
Le soir, une fois tout le monde couché, chacun dans son lit, Sylvie m'interpelle :

— C'est gentil ce que tu m'as dit ce matin, ça beaucoup touché !
— Par rapport au fait de te faire la cour ?
— Oui... J'ai 22 ans tu sais... Je suis toujours vierge et j'aimerais vraiment découvrir les sensations que ça doit procurer

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Mots-clés : En partie vraie, Hétéro