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Rencontre avec Caroline (suite)

Publié par : voyeurcoquin le 21/05/2024

Au retour de notre voyage de noces au Kenya, je rappelle à Caroline ses déclarations et ses engagements pendant la nuit de noces.
Elle souhaite m’accompagner dans mes délires libertins, mais il lui faut du temps. Ses expériences avec son troisième mari l’ont apparemment marqué. Et pourtant en peu de temps ils ont eu six partenaires différents…Je suis candauliste, j’ai tellement pris de plaisir avec Marie, que je souhaite faire apprécier cette pratique sexuelle à Caroline. Je veux prendre du plaisir en voyant Caroline faire l’amour avec une tierce personne.
Dans tous les cas, la décision de cette pratique doit être commune dans le couple, afin de le préserver.
En réalité, je suis très excité lorsque quelqu’un pose les yeux sur Caroline.
Le candaulisme est très lié à l’excitation que cette vision procure.
Très souvent, je suis désireux de voir ma femme être admirée, ou avoir des rapports sexuels avec un autre homme selon les situations.
Caroline adore s’exhiber, être admirée, c’est une véritable passion pour elle, l’exhibition. Elle aime dans ces moments se soulager dans différents endroits plus ou moins insolites.
Mon fantasme repose sur le fait de voir ma femme avec un autre. Donc normalement je pense que nous pourrions concilier nos deux envies et nos deux passions.
Mon plaisir n’est pas lié nécessairement à l’acte sexuel puisque le seul regard d’un autre homme sur elle peut suffire à faire monter mon désir sexuel. Le fait d’exhiber Caroline aux yeux des autres, de les voir envieux, et désireux d’elle me procure un sentiment de puissance et me donne du plaisir.
Nous parlons ouvertement des désirs de chacun, des craintes, avant de prendre la décision de s’orienter vers cette pratique sexuelle.
Il faut que Caroline soit consciente et accepte ma déviance sexuelle tant désirée.
Mon seul et unique objectif c’est d’augmenter le désir et le plaisir sexuel dans notre couple.
Pour Caroline, il existe également un risque de voir surgir une sorte de jalousie, comme elle l’a déjà vécu avec son troisième mari.
Elle doit avoir réellement envie, sans qu’une pression soit exercée sur elle.
Je lui suggère de contacter son ex-amant « Gigibé », avec lequel j’ai pu échanger le jour de notre mariage. Mais elle refuse, elle a réellement envie, mais exprime des craintes pour la suite de notre couple. Et me demande de ne pas forcer les choses.
Donc en attendant nous reprenons nos défis divers et variés. Au hasard, nous allons ensemble dans un photomaton et nous prenons une série de clichés osés. Lui relevant le haut avec soutien-gorge et sans, en dévoilant sa poitrine, puis nous adaptons la pose aux fesses de Caroline et puis ensuite au sexe.
Bien sûr nous attendons une quinzaine de minutes après la sortie des photos du photomaton avant de les récupérer, histoire que d’autres personnes puissent éventuellement profiter de nos jeux.
C’est très excitant de voir la tête des personnes…Nous fréquentons également ensemble un sex-shop. Nous choisissons chacun un costume pour l’autre et nous les essayons, Caroline fait beaucoup d’effet aux autres clients de ce sex-shop de Rouen, « le Carré Blanc » qui est grand, spacieux, lumineux. Il dispose d’une très belle collection de lingerie fine et sexy allant de la juste coquine à la tenue SM avec ses curieux accessoires. Nous sommes allés dans les salles de projections de film porno où il est possible d’imaginer des « rencontres » coquines discrètes, mais nous faisons que des exhibitions, pour exciter certains clients sympathiques. Nous nous installons pour regarder le film quand il n’y pas trop d’hommes à l’intérieur, souvent quelques groupes de deux ou trois qui jouent entres eux, en se frottant les bites l’une contre l’autre. Il y a aussi les célibataires qui se frottent ouvertement la queue en regardant le film. Nous nous caressons, provoquant souvent des déplacements autours de notre rangée, c’est une situation très excitante, parfois risquée…
Nous organisons d’autres défis, se déroulant dans des jardins publics assez fréquentés, avec des gages qui doivent être l’enjeu du défi.
Par exemple, Caroline doit déboutonner son chemisier jusqu’au bouton qui est situé bien en-dessous de ses seins et rester comme cela jusqu’à notre retour chez nous. Je me délecte de voir le regard des hommes sur sa belle poitrine offerte à leurs vues.
Autre exemple, je demande à Caroline d’ôter son string, et à chaque fois que je lui dis de se pencher, elle doit toucher la pointe de ses chaussures avec ses doigts, sans plier les genoux. Je peux lui dire « penches-toi » au moment que je veux et aussi souvent que je le désire, ce petit jeu nous a beaucoup amusé à une période, car certains hommes regardait bien franchement les belles fesses de ma Caroline qui faisait semblant de ramasser son mouchoir.
Autre défi que nous avons apprécié, elle doit ôter son string et s’asseoir sur un banc, la jupe suffisamment relevée et les jambes assez écartées pour que quelqu’un qui passe et regarde entre ses cuisses puisse apercevoir son sexe. Elle doit rester assise dans cette position jusqu’à ce qu’un grand nombre de personnes soit passées devant le banc. De temps en temps, il arrive que des hommes viennent s’asseoir à côté de Caroline et engage la conversation lui proposant de prendre un verre et plus…Dans le même style, elle doit marcher dans les allées du parc ou jardin public, en ôtant son string et marcher le maximum de pas en tenant sa jupe retroussée…
Et puis les défis c’est bien, cela nous amuse un temps, et par hasard en faisant du rangement dans mes documents, je retrouve la carte du photographe de la cathédrale de Rouen que j’avais conservé à dessein, (à relire au Chapitre24), je dispose de l’adresse et du numéro de téléphone de cet homme.
L’homme par lequel le destin d’exhibitionniste de Caroline a été scellé définitivement en ma présence. Après de nombreuses discussions avec elle, je souhaite témoigner « ma reconnaissance » à ce beau photographe, et à ma grande surprise elle me donne son accord, en m’affirmant que finalement c’est une bonne idée de faire des photos dénudées.
Je prends donc contact avec cet homme, lui laisse un message sur son répondeur, lui précisant que je suis le mari de la « femme joueuse » de la cathédrale.
Peu de temps après, l’homme me rappelle, se souvenant bien de Caroline, qu’il me surnomme Sharon, vue la grande ressemblance avec l’actrice à cette période, et surtout avec la surprise qu’elle lui avait faite, c’était une première dans sa grande carrière de photographe qu’une femme en pleine rue s’expose ainsi.
Je l’invite donc chez nous, sans en préciser la raison, je lui demande de prévoir son matériel, et que simplement une surprise l’attendait.
Il fut surpris, embarrasser même au téléphone, me demandant des détails, mais je lui répète que je ne l’oblige à rien qu’une surprise l’attend. Donc il m’affirme que mon épouse est tellement jolie qu’il va se déplacer, et qu’il va se dépasser pour magnifier la belle Sharon.
Nous avons rendez-vous un samedi chez nous à quatorze heures. Toujours aussi à l’aise que devant la cathédrale, mais quand même intrigué, François, c’est son nom est très ponctuel et arrive vraiment à l’heure.
Nous lui offrons un café avec des petits biscuits, nous discutons en faisant les présentations, il est relativement surpris par notre parcours, lui n’est pas libertin, marié avec deux enfants, il nous révèle n’avoir jamais trompé son épouse et ne pas en avoir envie.
Pendant que nous discutons et nous bavardons, Caroline s’est progressivement et imperceptiblement dénudée comme elle sait si bien le faire.
Oh, c’est facile, elle porte un chemisier et une jupe et pas de sous-vêtement. Il lui suffit de détacher un à un les boutons du haut pour exposer sa poitrine.
Par réflexe professionnel, François notre ami photographe saute sur son appareil à photo, ce qui donne le temps à Caroline d’ôter sa jupe. Totalement nue, la vision de Caroline dans cette tenue me procure une excitation incroyable. Le regard de François sur mon épouse me procure un immense plaisir comme vous pouvez l’imaginer.
François demande à Caroline de prendre la pose qu’elle veut.
A ma grande surprise, c’est alors qu’elle lui demande de lâcher son appareil et de rester debout devant elle, les jambes écartées.
François et moi, nous nous demandons où Caroline souhaite aller, je suis surpris, mais certainement pas autant que le photographe, je souris en direction de Caroline qui semble ravie de notre surprise.
Elle ouvre prestement la braguette de François, qui ne bronche pas, et se laisse faire.
Comme toutes les femmes, elle est évidemment impatiente et très curieuse de ce qu’elle va découvrir.
Mais surtout, elle veut lui faire plaisir, lui signifier à sa manière toute sa reconnaissance pour avoir accepté de jouer le jeu devant la cathédrale de Rouen. C’était notre première exhibition en ma présence, ce moment est encore inoubliable pour nous.
Elle se met à genoux, et elle entreprend de dégager son sexe et ses testicules.
J’observe le spectacle sans bouger, sans rien dire, tout à mon plaisir avec beaucoup d’interrogations, car nous avions simplement prévu de faire réaliser à François des photos de nue de Caroline.
Elle dépose sa salive sur son gland, et elle commence de sa main droite, à le branler, tandis que sa main gauche palpe ses boules.
J’observe en lui, un très léger recul d’étonnement, lui qui n’a soi-disant pas envie de tromper sa femme, suivi ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Branle, Fellation, Sodomie, Quadra, A plusieurs